L’association Les Îles Vanille crée une charte qualité by Hôtel★★★ Restaurant gourmand Coco Lodge Majunga.
L’association Les Îles Vanille crée une charte qualité by Hôtel★★★ Restaurant gourmand Coco Lodge Majunga.
L’association Îles Vanille dont l’objectif est de développer les fréquentations touristiques dans l’Océan Indien et d’inciter la création de standards de qualité des services touristiques au niveau des îles, a confirmé son engagement à la création d’une charte qualité, la semaine dernière. Selon le Président des îles Vanille, Xavier-Luc Duval, une mission a été assignée à la MTA (Mauritius Tourism Authority) pour la création d’un processus de classification pour la totalité des logements touristiques.
Ce système de classification commencera sur l’Île Maurice d’abord et sera vite développé dans les autres îles pour s’imposer comme la référence dans la zone Océan Indien. Les délégués des Seychelles et de Madagascar ont déjà exprimé leur appui sur cette démarche. Des liens sont prévus avec la classification d’Atout France appliqué pour La Réunion et Mayotte dans le but d’arborer une harmonisation entre les 7 îles membres.
Toujours dans le but de contribuer au développement des fréquentations touristiques dans l’Océan Indien, l’association « Îles Vanille », un regroupement des îles de l’Océan Indien dont font parties les Comores, les Maldives, Madagascar, Maurice, La Réunion, Mayotte et les Seychelles, instaure des standards de qualité au niveau des infrastructures hôtelières.
Un label de qualité pour une classification uniforme dans les « Îles Vanille »
L’objectif principal de cette référence est d’uniformiser la classification de toutes les infrastructures hôtelières des « Îles Vanille ». Un reclassement des hôtels qui doit être le même pour tous les membres de l’association. Le label de qualité concerne donc le classement, la catégorisation des hôtels et des prestations proposées par chacun d’eux. L’île Maurice sera la première à voir ses infrastructures hôtelières reclassées et le système se développera rapidement dans les autres îles membres. Imposer une telle référence dans la zone Océan Indien offrira certainement la même chance pour tous les opérateurs des îles et permettra également à ces professionnels, et surtout aux consommateurs, d’avoir plus de confiance dans la qualité des établissements au niveau régional. Le label « Îles Vanille » doit être une garantie officielle de qualité de services et de confort au niveau des infrastructures hôtelières.
Une aubaine pour la Grande Île
Au mois de novembre 2016, Madagascar accueillera le 16e sommet de la Francophonie. Les infrastructures d’accueil seront donc parmi les plus sollicitées et les opérateurs locaux pourront en profiter. Avec le nouveau label de qualité, bien que le reclassement des hôtels à Madagascar attende encore la sortie des normes exigées par l’association « Îles Vanille », la Grande Île peut espérer redorer son blason en matière de tourisme. Il faut rappeler qu’actuellement, selon le code de tourisme malgache de 1995, il existe sur place trois catégories d’hébergement : les étoiles (classification internationale de 1 à 5), les « Ravinala » (classification nationale de 1 à 5) et les non classés qui regroupent notamment les chambres d’hôtes, les gites et autres campings.
by Hôtel★★★ Restaurant gourmand Coco Lodge Majunga.
Franck PARIENTI
Air Madagascar doit développer le tourisme à Madagascar et non aux Comores : Financé par l’état malgache, Air Madagascar augmente ces prix et propose des vols pour développer le tourisme aux Comores http://madagascarairways.mg/finance-par-letat-malgache-air-madagascar-augmente-ces-prix-et-propose-des-vols-pour-developper-le-tourisme-aux-comores/
CocoLodge
Oui, et c’est bien malheureux !
Franck PARIENTI
Air Madagascar doit développer le tourisme à Madagascar et non aux Comores : Financé par l’état malgache, Air Madagascar augmente ces prix et propose des vols pour développer le tourisme aux Comores http://madagascarairways.mg/finance-par-letat-malgache-air-madagascar-augmente-ces-prix-et-propose-des-vols-pour-developper-le-tourisme-aux-comores/
CocoLodge
Oui, et c’est bien malheureux !