En l’honneur de nos mères ! #JetAimeMaman #MyMadagascar #MahajangaMaVille
En l’honneur de nos mères !
Demain, dimanche 07 juin 2020, sera la Fête des Mères. Une journée très spéciale que l’on dédie à nos Mamans. Pour leur rappeler notre amour, nous allons offrir des cadeaux à nos mamans, pour les rendre fières et heureuses. En l’honneur de nos mères !
Savez vous d’où provient la fête des mères ?
La fête des mères est bien rentrée dans nos mœurs. Mais savons nous d’où elle provient ?
En tout cas, la Fête des mères est fondée sur la célébration de l’amour maternel. Et Non, elle n’a pas été créée par des spécialistes du marketing, ni par le maréchal Pétain.
Un petit retour sur l’histoire …
Mythologie grecque : en l’honneur de la mère des dieux
Nous pouvons retrouver les premières traces de la fête des mères dans la mythologie grecque.
Dans la Grèce antique, on honore au printemps la “Grande Mère”, qui est une représentation de la Déesse Rhéa. Il s’agit de « Cybèle » dans la mythologie romaine. Rhéa est la femme de son frère Cronos et mère de Hestia, Déméter, Héra, Hadès, Poséidon et Zeus.
A cette occasion, on fêtait le 15 mars sur le calendrier romain la fertilité des Terres, la fécondité et la maternité.
Rome antique : fêtes religieuses de Matronalia et Hilaria
Les Romains ont été les premiers à célébrer les mères à proprement parler.
Parmi les nombreuses fêtes religieuses, on en retrouve deux qui se rapportent aux mères, à la maternité et à la fertilité.
Le premier mars correspond à la Matronalia. C’est une fête en l’honneur des “matrones” qui sont des femmes mariées ou des mères.
Et le 25 mars, les Hilaria débutent. En l’honneur de Cybèle, les Hilaria sont des journées de fêtes de printanières.
La Maternité dans le Christianisme
Dans le christianisme, la maternité n’est pas vraiment célébrée parce qu’elle serait contradictoire avec la virginité de Marie, Mère de Jésus Christ.
Quoiqu’il en soit, plusieurs fêtes chrétiennes sont associées à la Mère de Jésus, mais aucune de ces fêtes ne célèbrent la fécondité. Seul le dimanche de Laetare évoque la maternité. Et ce dernier fait référence au lait maternel.
On le célèbre le quatrième dimanche de Carême.
Le dimanche de Laetare correspond au « Mothering Sunday » au Royaume-Uni et en Irlande. Et depuis long temps, le « Mothering Sunday » a été l’équivalent de la fête des mères.
Jusqu’à aujourd’hui, on a retenu la même date pour la fête des Mères.
Journée de la mère aux Etats-Unis
En 1870 aux Etats Unies, une activiste pour la paix initie la Proclamation de la Journée de la Mère. Elle invite les mères du monde entier à s’unir pour la paix, à l’époque.
Cependant, C’est Anna Jarvis qui a promu l’internationalisation de la fête des mères vers le début du XXème siècle.
Elle fonda ainsi des “clubs de mères” dans le but d’union pacifique. C’est grâce à elle que les Etats Unis déclarent une journée officielle, en 1914.
Fête des Mères en France depuis 1906
En France, on doit la célébration de la fête des mères au village d’Artas en Isère.
Prosper Roche, fondateur de l’Union Fraternelle des Pères de Famille Méritants d’Artas, a initié une cérémonie festive en l’honneur de mères, dès 1906.
Il y a aussi l’histoire des deux guerres qui sont à l’origine de l’internationalisation de la fête des mères. Depuis 1918, on célébrait les mères de famille et épouses ayant perdu des enfants ou mari pendant la guerre à la ville de Lyon.
Mais la fête des mères prendra en France une envergure nationale qu’avec le Maréchal Pétain et sa politique nataliste. En 1941, il a ajouté au calendrier la journée des mères.
(Source : Amikado.com)
En l’honneur de nos mères !
Rien n’est plus grand que l’amour d’une mère. C’est un amour inconditionnel et sans limite. Et nous devons tous, tous les jours, montrer à nos mères que nous les aimons autant.
Mais, pour la journée de demain (à la fête des mères), nous devons les aimer encore plus, et les rendre encore plus heureuses.
Offrez des cadeaux, des collier de nouilles, embrassez, faites des câlins, et dites “Je t’aime” à vos Mamans autant que vous pouvez !
« L’amour d’une mère pour son enfant ne connaît ni loi, ni pitié, ni limite. Il pourrait anéantir impitoyablement tout ce qui se trouve en travers de son chemin. », disait Agatha Christie.
Bonne fête à toutes les Mamans du monde !
By Hôtel★★★ Restaurant gourmand Coco Lodge Majunga
Juste à titre de rappel, Coco Lodge Majunga est à la fois :
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Anwen
Bonjour.
La Mère dans la Rome antique…
C’est d’abord Mater Matula, Déesse de l’aurore et des naissances.
Sa fête s’appelait « la fête des Mères », Matralia. Nous trouvons aussi Acca Larentia, réceptacle des semences, dont le nom devient générique dans les Lares, qui sont les bons Esprits, protecteurs des champs et des moissons.
Le Laris familiaris était le génie protecteur du foyer. On célébrait les Laralia, fête familiale, en l’honneur de ces Divinités.
Ce culte persista longtemps. On le retrouve dans les Lares publics, les Lares de carrefour (compitales ou viales), les Lares Hostilii, protecteurs contre les ennemis, etc.
Ces Lares représentaient l’Esprit providentiel de la Femme, veillant sur la demeure et pourvoyant à tous les besoins de l’existence. C’est pourquoi les Déesses personnifiaient aussi la vie heureuse de cette époque : Fortuna est la Déesse du bonheur. Elle a différentes formes : Fortuna Muliébris, Fortuna Régia, Fortuna Respicius (favorable).
Du mot sanscrit Mâtri on fait en latin : matri-monialis, matrimonium, Matrona, Maturare.
Tout cela indique bien que c’est la Mère qui est la tête de la famille et l’esprit mûri (maturalio) qui dirige avec sagesse.
(…)
Enfin nous arrivâmes et je revis ma Mère ! Tous les sentiments qui m’agitaient s’évanouirent pour faire place à un seul. Je ne ferai point à mes lecteurs l’injure de le leur peindre ; car en peut-il être un seul qui ne l’ait pas ressenti ? Peut-être on me dira, sans se donner le temps de réfléchir, que l’enfant assez infortuné pour perdre sa mère au moment de sa naissance, ou peu de temps après, doit avoir ignoré ce sentiment. A cela, je réponds que cet enfant l’aura porté sur sa nourrice ; et que, parvenu à un âge de raison, le nom seul de « mère » a suffi pour le faire naître dans son cœur, en le rendant plus vif par la privation même de son objet.
Quand tout se fait petit, femmes vous restez grandes. (Victor Hugo)
Cordialement.
CocoLodge
Merci pour ces précisions !
J’ai lu votre article “Livres de Femmes, Livres de Vérités”. C’est très émouvant et intéressant aussi. “Plus un enfant connaît sa Mère, plus il l’aime”.
Merci.
Anwen
Bonjour.
La Mère dans la Rome antique…
C’est d’abord Mater Matula, Déesse de l’aurore et des naissances.
Sa fête s’appelait « la fête des Mères », Matralia. Nous trouvons aussi Acca Larentia, réceptacle des semences, dont le nom devient générique dans les Lares, qui sont les bons Esprits, protecteurs des champs et des moissons.
Le Laris familiaris était le génie protecteur du foyer. On célébrait les Laralia, fête familiale, en l’honneur de ces Divinités.
Ce culte persista longtemps. On le retrouve dans les Lares publics, les Lares de carrefour (compitales ou viales), les Lares Hostilii, protecteurs contre les ennemis, etc.
Ces Lares représentaient l’Esprit providentiel de la Femme, veillant sur la demeure et pourvoyant à tous les besoins de l’existence. C’est pourquoi les Déesses personnifiaient aussi la vie heureuse de cette époque : Fortuna est la Déesse du bonheur. Elle a différentes formes : Fortuna Muliébris, Fortuna Régia, Fortuna Respicius (favorable).
Du mot sanscrit Mâtri on fait en latin : matri-monialis, matrimonium, Matrona, Maturare.
Tout cela indique bien que c’est la Mère qui est la tête de la famille et l’esprit mûri (maturalio) qui dirige avec sagesse.
(…)
Enfin nous arrivâmes et je revis ma Mère ! Tous les sentiments qui m’agitaient s’évanouirent pour faire place à un seul. Je ne ferai point à mes lecteurs l’injure de le leur peindre ; car en peut-il être un seul qui ne l’ait pas ressenti ? Peut-être on me dira, sans se donner le temps de réfléchir, que l’enfant assez infortuné pour perdre sa mère au moment de sa naissance, ou peu de temps après, doit avoir ignoré ce sentiment. A cela, je réponds que cet enfant l’aura porté sur sa nourrice ; et que, parvenu à un âge de raison, le nom seul de « mère » a suffi pour le faire naître dans son cœur, en le rendant plus vif par la privation même de son objet.
Quand tout se fait petit, femmes vous restez grandes. (Victor Hugo)
Cordialement.
CocoLodge
Merci pour ces précisions !
J’ai lu votre article “Livres de Femmes, Livres de Vérités”. C’est très émouvant et intéressant aussi. “Plus un enfant connaît sa Mère, plus il l’aime”.
Merci.